J’ai perdu ma mère le samedi 23 juillet 2022. Une date que je n’oublierai jamais. Et avec mes troubles de l’humeur en surcroît, j’ai passé un hiver très difficile. J’ai dû me concentrer sur ma dépression nerveuse, à traverser des douleurs émotionnelles et psychologiques liées au décès de ma mère.
Et l’écriture a été mise de côté.
Maintenant, le printemps revient avec ses douces lumières portant l’espoir d’un mieux être, d’aller de nouveau vers la création. J’ai des idées et j’ai commencé à gribouiller sur une feuille d’abord. Puis, dans un carnet mais shuuut… c’est quelque chose que je garde en moi car ce nouveau livre sur lequel j’avance progressivement, c’est comme un enfant que je porte en moi.
Écrire pour moi, c’est comme être enceinte. Ça se crée en moi, graduellement, dans mon être, dans mon esprit et surtout dans mon coeur.